Billet avion et vacances Kenya

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Monnaie :

Le shilling kenyan.

Climat :

La basse saison correspond à la saison des pluies, de fin mars à mi-juin et de fin octobre à début décembre. Durant ces périodes, les safaris sont limités mais les hôteliers baissent considérablement leurs prix. Pendant la haute saison (de décembre à fin février et de juillet à début septembre), il faut réserver largement à l’avance. L’idéal est de s’y rendre pendant la saison intermédiaire, en mars, en juin ou en septembre/octobre.

Formalités :

Les visiteurs doivent être en possession d’un passeport en cours et valable six mois après le retour. Le visa n’est plus obligatoire pour les séjours inférieurs à un mois. Au-delà, un visa vous sera délivré gratuitement sous trois jours au consulat ou sur place.

Taxes :

Les taxes d’aéroport s’élèvent à 20 $ par personne (env. 21 Euros)

Décalage horaire :

1

Santé :

Aucune vaccination n’est exigée mais celles contre la fièvre jaune et le choléra sont fortement recommandées. Il est impératif de suivre un traitement contre le paludisme (méfloquine) car le pays est en zone 3. Les moustiques, vecteurs de la maladie, sévissent surtout sur la côte et au bord du lac Victoria.

Ambassade

3, rue Freycinet – 75016 Paris
tél. : 01-56-62-25-25

Office de tourisme

5, rue Volney – 75002 Paris
tél. : 01-42-60-66-88

Hébergement :

La formule des lodges pour routards est recommandée pour les safaris. Ils offrent tout le confort nécessaire : chambre avec salle de bain, restaurant, bar, et souvent une piscine. African Tours and Hotels, tél. (00254)2/33-28-25 ou 33-75-08.Les « tree lodges » (lodges dans les arbres), implantés principalement aux points d’eau, permettent d’observer les fauves. Mais les petits budgets et les amoureux de la nature préféreront les camps, situés dans les réserves.

Transport :

Le Kenya possède un bon réseau ferroviaire, et voyager en train (Kenya Railways) est toujours plus sécurisant qu’en bus ou en matatu (minibus), moins chers mais dangereux.Le réseau routier est assez limité mais c’est souvent le seul moyen d’accéder aux parcs et réserves naturelles.Pour parcourir le pays, il peut être plus avantageux de prendre l’avion, relativement bon marché. Ce mode de transport est très utile pour passer de Nairobi à Mombasa.
Notez que actuellement seule la companie aérienne Corsair propose des vols directs depuis la France.

tpsdave / Pixabay

 

Nourriture :

La spécialité locale est le nyama choma, une recette à base de viande grillée au feu de bois (boeuf, mouton, chèvre, animaux sauvages…). L’ugali, une sorte de purée de farine de maïs, est fade et très bourrative : heureusement ce n’est qu’un accompagnement. Outre le thé très anglais, la boisson nationale est la bière (Tusker). Les Kenyans en font une consommation immodérée, d’autant qu’elle est meilleur marché que l’eau minérale. Pour finir votre repas, essayez le digestif le plus connu : le Kenya Gold, une liqueur de café servie avec des noix de cajou.Pour un repas complet, comptez environ 9 euros dans un restaurant local et 15 euros dans un endroit plus chic.

A visiter :

Nairobi est une grande ville moderne surplombée par d’innombrables tours. Elle ne représente guère d’intérêt si ce n’est pour effectuer son shopping avant de partir, mais dans les environs de la capitale (au sud-ouest) se trouve la ferme de l’écrivain danois Karen Blixen, transformée en musée. Plus au sud, la réserve de Masaï Mara est un passage obligé si vous rêvez de nature, car c’est ce que le Kenya offre de plus exceptionnel. Ce gigantesque écosystème renferme une concentration d’animaux sauvages impressionnante : lions, guépards, hyènes, chacals, éléphants, buffles et. De nombreux autres parcs valent également le détour comme celui d’Amboseli, dominé par le Kilimandjaro, ou ceux de la région du Tsavo. Un conseil : limitez vous à la visite d’un seul parc, de toute façon les fauves auront la même physionomie partout ! L’ouest du pays est totalement ignoré des touristes, excepté le lac Victoria. C’est pourtant une région aux paysages somptueux, idéale pour les randonneurs qui peuvent s’attaquer au Mont Elgon. Tandis que la forêt de Kakamega est une véritable jungle équatoriale, paradis des singes et des oiseaux.

A faire :

Prenez vous pour Karen Blixen en survolant , le temps d’un safari aérien, les parcs d’Amboseli et du Masaï Mara en compagnie du pilote Alexis Pelletier. Il vous fera peut-être vivre votre baptême de l’air en ULM, mais pour lui c’est surtout l’occasion de vous sensibiliser sur la protection des éléphants. Contact à Nairobi au (00)254-2-442339.

Shopping :

Un makonde (objet en bois sculpté), des bijoux masaïs, des sculptures en « pierre à savon », du thé et du café.

On aime :

L’horizon qui en met plein la vue.

On n’aime pas :

Le côté trop organisé, qui oblige à passer par un voyagiste pour un circuit minuté. Il est quasiment impossible d’arriver en routard au Kenya. Le pays est bien sûr extrêmement touristique, ne vous imaginez pas pouvoir observer un lion en toute tranquillité.

Le mot :

Habari. C’est un mot de bienvenue en swahili que vous entendrez partout.

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