Billet avion Cuba

Billet d’avion et vol Paris La Havane – aller retour (Cuba) à partir de 918 €

Billet d’avion et vol Paris Varadero – aller retour (Cuba) à partir de 2114 €

Billet d’avion et vol Paris Holguin – aller retour (Cuba) à partir de 3625 €

Consultez les tarifs des vols pour Cuba sur ce comparateur de prix.

Monnaie :

La monnaie officielle est le peso cubano (à changer sur place) 1 € = 1,31 peso cubain environ. Attention, les US dollars ne sont plus acceptés sur l’île, éventuellement avec une surtaxe de 10%. Par contre, aucun problème pour les Euros.

Climat :

Climat subtropical modéré avec une température moyenne de 25° : saison sèche en hiver et humide de juin à octobre. Globalement il fait chaud toute l’année mais le ciel est plus limpide en hiver et la chaleur moins oppressante.

Formalités :

Passeport en cours de validité et carte de tourisme à retirer à l’ambassade de Cuba. Le visa n’est obligatoire que pour les personnes se rendant à Cuba pour raisons professionnelles.

Taxes :

Environ 17 Euros

Décalage horaire :

-4

Santé :

Pas de vaccin obligatoire. Pas de paludisme à Cuba.

Ambassade de Cuba et Consulat
16, rue Presles
75015 Paris
Tél : 01 45 67 55 35
.Internet : www.cubaparis.com

Office Tourisme Cubain
280, Boulevard Raspail
75014 Paris
Tél : 01 45 38 90 10
Internet : www.cubatravel.cu

Hébergement :

Hôtels très chers à la Havane, par contre, ils sont meilleur marché en province. Même si l’on en trouve partout, sachez qu’ils sont en nombre limité, et souvent insuffisant par rapport à l’arrivée croissante des touristes. Bon à savoir : Il est formellement interdit d’inviter un(e) Cubain(e) dans votre chambre.
La solution la plus conviviale, la meilleure marché et la plus intéressante pour connaître les cubains reste la location chez l’habitant. Comptez entre 20 et 30 Euros la chambre. Il n’y a pas de possibilité de faire du camping.

Transport :

Evitez à tout prix les bus, bondés et peu fréquents. Vous pouvez emprunter des cars modernes réservés aux touristes pour relier les sites les plus visités. Un réseau ferroviaire relie La Havane à toutes les principales villes du pays. Bien qu’il y ait eut de nombreuses améliorations au cours de ces dernières années, les trains restent archaïques, lents et loin d’être ponctuels. De plus, ils sont bondés. La meilleure solution : louer une voiture, même si les tarifs sont élevés. Le réseau routier est assez dense et de bonne qualité mais attention, les stations d’essence rares. Bon à savoir : Vous pouvez acheter de bons plans des villes et des cartes routières à la librairie El Navegante à La Havane. Si toutefois vous préférez louer les services d’un taxi (mieux vaut un officiel), ils offrent de bonnes prestations en règle général.

Nourriture :

Les spécialités sont peu sophistiquées. La gastronomie cubaine a pour base récurrente le poulet et le riz. Elle est en général peu épicée. Paradoxalement, les fruits et légumes sont peu mis en avant bien que très bien représentés sur l’île. Notre conseil : goûtez la cuisine familiale dans les paladares, petits restaurants privés souvent installés dans de vieilles villas, voire dans des appartements. La nourriture y est bonne, l’ambiance familiale et les prix plus intéressants que dans les restaurants officiels. Tarifs : Entre 7 et 10 Euros dans un restaurant privé. Horaires : Pas d’horaires fixes, les restaurants servent de midi à minuit et les Cubains dînent indifféremment entre 18 et 22 h.
Boissons : Ne partez pas sans avoir goûté les cocktails cubains à base de rhum, connus dans le monde entier. 2 adresses : boire le Daïquiri au bar El Floridita (La Havane) et le Mojito à la Bodeguita del Medio, quelques rues plus loin. Tout cela à la santé d’Hemingway qui fréquenta assidûment les lieux. Pour ce qui concerne l’eau, achetez des bouteilles d’eau minérale, l’eau du robinet n’étant pas potable.

A visiter :

Des villes coloniales : La Havane (le vieux quartier et ses maisons à colonnes, la place d’armes du 16ème siècle, sa cathédrale ou la promenade de Malecon le long de la mer) et Trinidad, aujourd’hui véritable ville musée inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Deux régions à ne pas manquer : la vallée des Mogotes (pains de sucre surgissant du sol) et La Vallée du sucre (visite des anciennes propriétés foncières).

 

weisastrid / Pixabay

A faire :

La fête : salsa, rumba, mambo. Cuba regorge de salles de danse et de concerts. A vous de les débusquer au hasard de vos promenades nocturnes. Pour ne citer que le plus célèbre, vous pourrez danser sur la piste en plein air du Tropicana de La Havane, l’un des plus grands cabarets du monde. Début juillet, vous pouvez assister à la Fiesta de Fuego (carnaval de Santiago qui célèbre la culture caribéenne en dansant toutes les nuits durant une semaine, et en dégustant Daïquiri ou Mojitos). Pour en savoir plus sur la Fiesta de Fuego : www.cubatravel.cu
Les amateurs de plongée trouverons aussi des apnées pour tous les goûts et notamment sur l’île de la Jeunesse et à Maria La Gorda à l’extrémité ouest de l’île où les fonds marins sont exceptionnels. De la randonnée pédestre dans la Sierra Mestra à l’Est (pour ses repères historiques de la révolution et les vues splendides sur la côte Caraïbe). Prévoir 3 jours de marche pour atteindre le sommet (Pico Turquino, point culminant de l’île.

Shopping :

Peu d’artisanat à Cuba. Ramenez plutôt des cigares. N’achetez jamais de cigares dans la rue : vous risquez d’être victime d’une contrefaçon. Préférez les magasins spécialisés. A la sortie du territoire, les autorités douanières vérifieront si les boîtes portent bien l’estampille de l’Etat.

On aime :

La réserve naturelle de Las Terrazas, exemple plutôt réussi d’éco tourisme à Cuba, même s’il s’agit d’une vitrine pour le régime. Les vieilles voiture américaines des années 1950 qui donnent une ambiance très particulière à la ville.

On n’aime pas :

La station balnéaire de Varadero, réserve pour touristes où coulent les dollars et où prolifère la prostitution. L’insécurité qui règne autour de la Plaza de Dolores à Santiago de Cuba.

Le mot :

« Guarapo » : signifie jus de canne à sucre, mais c’est surtout le surnom de Fidel Castro. Indispensable à savoir si l’on parle politique avec les Cubains.

Livres :

« Guide Lonely Planet » : plus que jamais indispensable pour un pays où les bonnes adresses sont parfois difficiles à dénicher. Utile aussi pour certaines mises en garde sur la situation économique et les abus du tourisme.

« Cuba, manuel de voyage », Vilo éditions : un guide très complet sur les aspects de la vie quotidienne ou culturelle à Cuba, plus sommaire sur la description des sites. Son point faible : les illustrations, pratiquement inexistante.

[pw_map address="Cuba"]